20/08/2011
Trace gpx : 605 Pic de la Mine
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CAPTURES SUR CARTE IGN ET SUR GOOGLE EARTH
De l’Hospice de France monter au refuge de Vénasque. Du refuge monter vers le Port de Vénasque. Pour cela il y a deux sentiers, un longeant les boums et un autre un peu plus haut longeant la base du Pic de la Mine. Ils se rejoignent un peu avant les lacets qui finissent la montée au port. Peu après la jonction des deux sentiers, monter sur la gauche, au mieux du pierrier puis dans une cheminée caillouteuse, à craindre les chutes de pierres en particulier avec les brebis pouvant se trouver au-dessus. A la sortie de la cheminée on rejoint l’arête ouest du Pic de la Mine, la suivre jusqu’au sommet, le cheminement est cairné, quelques pas de I.
Pour le retour, on peut descendre par le même chemin. Compte tenu de la présence des brebis au-dessus de la cheminée, nous avons préféré descendre sur le versant espagnol. On trouve au point où à la sortie de la cheminée on rejoint l’arête ouest, une cheminée mi-herbe mi-rocher permettant de descendre versant espagnol et de prendre le sentier pour monter au Port de Vénasque à partir duquel on revient à l’Hospice de France via le refuge de Vénasque.
Hospice de France 1375 m - Refuge de Vénasque 2248 m - Bifurcation 2340 m - Crête frontière 2530 m - Pic de la Mine 2708 m - Point 2530 m - Port de Vénasque 2444 m -
Refuge de Vénasque 2248 m - Hospice de France 1375 m
🕖 | : | 07h25 | / | Météo | : | 🌞🌞🌞🌞⛅ |
↔ | : | 14.900 km | / | Intérêt | : | ❤ ❤ ❤ ❤ ❤ |
↗ | : | 1350 m | / | Terrain | : | Sentier, hors sentier |
↘ | : | 1350 m | / | Matériel | : | |
: | 5h05 | / | Equipement | : | ||
: | 4h40 | / | Difficulté | : | F / I+, Cheminée caillouteuse | |
⌛ | : | 9h45 | / | Topo | : | Carte IGN, Guide Ollivier |
PHOTOS DE LA SORTIE CARTE IGN CARTE ROUTIERE
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UN PEU DE CULTURE MONTAGNARDE
SYLVAIN JOUTY : L'ODEUR DE L' ALTITUDE
Porté par la collision entre l'Inde et le Tibet, l'Himalaya ne cesse de s'élever, nous apprend la tectonique des plaques. Il en va ainsi du Sertog, sommet imaginaire qui est l'un des héros de ce roman : montagne sacrée au XVIIe siècle, estimé plus haut que l'Everest en 1913, il demeure, vers 1980, le plus haut sommet inviolé du monde - donc le plus précieux pour les alpinistes.
Là où le sous-continent indien vient percuter l'Asie, trois « plaques » narratives s'entrechoquent, trois époques, trois styles. Au XVII° siècle, deux jésuites venus évangéliser le Tibet ; en 1913, une expédition internationale aux prises avec les dangers de la haute altitude, et qui se termine en catastrophe ; enfin un super-alpiniste solitaire contemporain, qui doit, pour gravir la montagne, non seulement lire le relief mais également les traces contradictoires de ses prédécesseurs.
L'histoire bute sur une aporie, celle du sommet, moment indicible au-delà duquel il n'y a rien, ou tout : la mort, la légende, le mensonge ou les dieux. Du véritable sommet, on ne redescend jamais, et les seuls mots adéquats sont ceux de la fiction, c'est-à-dire de l'énigme.
Évitant les clichés des livres de montagne, ce roman redonne à celle-ci son relief, sa complexité et aussi ses implications diverses et profondes dans l'histoire humaine, à un moment extraordinaire où l'imaginaire rejoint la réalité - en témoigne la découverte récente du corps de Mallory sur les flancs de l'Everest. (Grand prix du salon du livre de montagne)
EDITIONS FAYARD
SYLVAIN JOUTY Journaliste, écrivain et alpiniste français (né en 1949). Il a réalisé quelques premières dans les Alpes, notamment avec Patrick Cordier. Spécialiste reconnu de l'histoire de la montagne, il a été rédacteur de l'Encyclopédie de la montagne (Atlas), Il a rédigé à peu près les trois quarts de ce dictionnaire, dont la plupart des biographies et des notices sur les Alpes. Rédacteur en chef d'une revue de montagne pendant dix-huit ans avant de devenir journaliste et auteur indépendant. Il a mis à jour l'Histoire de l'Alpinisme de Roger Frison-Roche (Arthaud, 1997). Son troisième roman, L'odeur de l'altitude, est paru en août 1999 chez Fayard.
METEO DANS LE SECTEUR DE LA RANDONNEE
De Bagnères-de-Luchon prendre la direction de Superbagnères par la D125. Depuis les thermes compter environ 5 kilomètres, quitter la direction de Superbagnères pour prendre sur la gauche,
celle de l'Hospice de France, toujours par la D125, aller jusqu'au terminus de la route.
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