21/12/2014
Trace gpx : 769 Soum de la Pène - Soum de Laya - Pic de Peyre Clic droit et "Enregistrer le lien sous ..."
CAPTURES SUR CARTE IGN ET SUR GOOGLE EARTH
Du virage de Cure Areys, partir plein Sud en direction du col de Couret. Très beau point de vue. De ce col, poursuivre vers le Nord Est en direction de la crête du Soum de la Péne bien visible. Commencer à suivre Le Tour du Val d’Azun et très vite appuyer à gauche pour passer par le Soum d’Ostès. Continuer en direction de la crête en reprenant le sentier du Tour du Val d’Azun et le suivre jusqu’au Soum de Laya en traversant le Soum de la Péne.
Du Soum de Laya pour descendre au col de Liar un détour par la droite est nécessaire pour éviter les pentes raides qui descendent directement du pic vers le col. Du col j’ai fait un aller être tour au pic de Peyre.
Au col de Liar, à proximité d’un abreuvoir, un sentier démarre vers le Nord et tourne très rapidement vers l’Ouest. Si le parcours est suivi avec l’aide d’un GPS il sera assez facile de conserver l’itinéraire. Si ce n’est pas le cas il faut s’aider d’une carte IGN. La forêt d’Arragnat est un enchevêtrement de pistes et chemins où il est facile de se louper. De toute façon la direction générale reste à l’Ouest
Parking Cure Areys 1067 m - Col de Couret 1351 m - Soum d'Ostès 1465 m - Col 1452 m - Soum de la Pene 1616 m - Soum de Laya 1579 m - Col de Liar 1348 m - Pic de Peyre 1434 m -
Col de Liar 1348 m - Parking Cure Areys 1067 m
🕖 | : | 08h55 | / | Météo | : | 🌞🌞🌞🌞🌞 |
↔ | : | 11.170 km | / | Intérêt | : | ❤ ❤ ❤ ❤ |
↗ | : | 735 m | / | Terrain | : | Piste, sentier |
↘ | : | 735 m | / | Matériel | : | |
: | 3h05 | / | Equipement | : | ||
: | 1h35 | / | Difficulté | : | Pas de I | |
⌛ | : | 4h40 | / | Topo | : | Carte IGN, Google Earth |
PHOTOS DE LA SORTIE CARTE IGN CARTE ROUTIERE
UN PEU DE CULTURE PYRENEENNE
LUCIEN BRIET : BIELSA, TORLA, JÁNOVAS, MASCÚN ET AUTRES LIEUX
Un recueil de textes de Lucien Briet sur ses voyages à Bielsa, au cirque de Pinède ou pineta, la gorge de Boucharo/Bujaruelo, la grotte de Trucho, le Barranco de Mascun et le défilé de Janovas.
Lucien Briet, après avoir exploré les sommets proches de Gavarnie , s'intéresse à l'autre côté de la frontière et se prend de passion pour l'Aragon, où il va systématiquement revenir année après année.Les articles réunis ici, et parus dans la revue " La Nature ", sont ceux qu'il a écrits entre 1902 et 1905, en parcourant Bielsa, Torla, le Cirque de Pinède ou Pineta, la gorge de Boucharo / Bujaruelo, la grotte du Trucho, le Barranco de Mascún et le défilé de Jánovas.
Il accompagne ses textes des magnifiques photographies qu'il prend sur les lieux. A notre connaissance, ces articles n'avaient jamais été réédités depuis.
EDITIONS DE LA RAMONDA
LUCIEN CESAR HENRI BRIET né le 2 mars 1860 à Paris 19e de parents champenois, et décédé le 4 août 1921 à Charly-sur-Marne (Aisne), est un photographe, explorateur et conférencier français, qui a principalement parcouru et étudié les Pyrénées espagnoles et le haut Aragon.
Un pur enfant de Paris, écrit Beraldi. Né rue de Flandre en 1860. Sa première ascension : tout petit, mené par son père voir les travaux du parc des Buttes-Chaumont ; dans la grotte il touche les stalactites en construction : prédestination à la spéléologie. Lit au collège, dans la Bibliothèque des Merveilles, le récit de Ramond sur le Mont Perdu. Il n'y a qu'à laisser germer.
On le croit diplômé en lettres. Il est surtout passionné par l'écriture, la découverte, l’exploration et la photographie. Il pense à ses débuts pouvoir vivre de sa plume, mais ses premiers pas en poésie ne sont pas concluants.
En 1880, il est incorporé au 51e régiment d’infanterie de ligne à Beauvais. La vie militaire ne le satisfaisant pas, il déserte et s‘enfuit en Belgique, où il va passer quatre années. À son retour en France, il est traduit en conseil de guerre et condamné à deux ans de travaux forcés, puis gracié et affecté au 11e régiment d’infanterie, pour un an, en Afrique. En 1886, enfin libéré, il revient dans sa famille à Charly-sur-Marne et pratique la photographie.
En 1887, au décès de son père dont il est l'unique héritier, il mène une existence de petit rentier et décide de se lancer dans l'exploration de la cordillère pyrénéenne sur les traces de Ramond de Carbonnières. Il sera par la suite secrétaire de la Société de Spéléologie. Il découvre les Pyrénées en 1889, au cours d'un séjour à Gavarnie. Pris de passion, il y revient assez régulièrement, devient membre du CAF et entreprend d’explorer méthodiquement le massif, y réalisant de nombreuses photographies. Il publie des articles dans des revues spécialisées et donne des conférences accompagnées de projections. La Société Géographique de Paris lui fait un accueil triomphal.
Pour rejoindre le Col de Couraduque point de départ de cette randonnée le plus simple est de passer par le village d’Aucun sur la D618 qui relie Argelès-Gazost au Col du Soulor.
Du village prendre la direction du col, qui est aussi une station de ski de fond.
Cette page est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International License 2017 Michel Cassou