02/05/2018
Trace gpx : 945 Cap d'Artigue Couade Clic droit et "Enregistrer le lien sous ..."
CAPTURES SUR CARTE IGN ET SUR GOOGLE EARTH
Du petit parking suivre la piste jusqu’à 1250 m d’altitude où on tombe sur une deuxième barrière, poursuivre sur la piste herbeuse qui lui fait suite. A la Prade Hourquette, 1471 m, tourner à droite et très vite prendre la branche de gauche de la piste qui se divise en deux. Faire 300 mètres et tourner à droite jusqu’à trouver des marquages rouges sur un arbre ainsi qu’une plaquette « Poste 10 » : monter, sur la gauche, droit dans la pente jusqu’à la Crête de la Serre, hors sentier facile. On arrive sur la crête à proximité du Cap d’Artigue Couade. Poursuivre sur la crête, vers le nord-ouest, par le Chemin de la Serre jusqu’au Cap du Cros, il faut quitter le piste sur quelques dizaines de mètres pour aller au sommet. Revenir sur la piste et continuer sur le Chemin de la Serre jusqu’à tomber sur un panneau d’interdiction de circulation, 1460 m, faire un aller et retour au Cap Deraut et en revenant prendre sur la gauche la piste en herbe, faire 500 mètres et dans un coude à droite de la piste, descendre sur la gauche droit dans la pente jusqu’ à une piste que l’on suit sur la droite vers une autre piste qu’on suit sur la gauche, elle amène sur la piste de la montée à 1.5 kilomètres du départ.
Parking avant Ardengost 1030 m - La Prade Hourquette 1500 m - Cap d'Artigue Couade 1731 m - Cap du Cros 1646 m - Col 1448 m - Cap Deraut 1511 m - Parking avant Ardengost 1030 m
| 🕖 | : | 08h11 | / | Météo | : | 🌞🌞🌞🌞⛅ |
| ↔ | : | 16.750 km | / | Intérêt | : | ❤ ❤ ❤ |
| ↗ | : | 821 m | / | Terrain | : | Piste, crête |
| ↘ | : | 821 m | / | Matériel | : | |
 | : | 4h18 | / | Equipement | : | |
 | : | 1h30 | / | Difficulté | : | Sans |
| ⌛ | : | 5h48 | / | Topo | : | Carte IGN, Google Earth |
PHOTOS DE LA SORTIE CARTE IGN CARTE ROUTIERE
UN PEU DE CULTURE PYRENEENNE
PASCAL RAVIER : ENCORE UN PAS
Approches de lumineuses journées de montagne, de moments intimes en quête d'inédit sont nées les pages qui suivent. Une histoire écrite à plusieurs mains au gré d'échanges, de palabres et d'émotions. Naturellement, viscéralement, nous avons souhaité confondre nos expériences avec l'adage béraldien qui définit le Pyrénéisme à la fin du dix-neuvième siècle… "Ascensionner, sentir, écrire…" Au fil de mes errances là-haut jonchées de joies, de doutes ou de mélancolie à la cime, j'ai souvent songé y adosser trois substantifs : authenticité, partage et confidence. Au coeur de nouveaux chemins de montagne transpire une passion commune perceptible dès les premières rencontres. Une vision partagée nous conduit à marcher, grimper, s'émouvoir ensemble… Beauté, difficulté, confidentialité d'un itinéraire ; originalité d'une approche ; clin d'oeil historique ; instants cocasses ou ressentis furtifs… Passés, caractères et comportements divergent ; nos émotions s'entremêlent jusqu'à se confondre. Nous regardons désormais dans la même direction ; un choeur de regards attentif, attendri vers un "en haut" que nous envisageons simple et dépouillé. La corde, lien multicolore, témoin silencieux de bien des parcours, rythme cette symbiose. La cordée est multiple, accueillant des sensibilités diverses. La note technique agrémentant le topo de l'itinéraire du jour fait la part belle à une plume profonde, sincère teintée de réflexion, d'états d'âme et d’humour. Textes brefs, où tout est dit ou suggéré, aux mots forts et choisis ; descriptions historiques où rejaillit la vie de nos montagnes, rencontres intimes avec des proches, témoignages, récitsou mémoires s'ordonnent dans la simplicité. De retour en bas, dans la vallée, ils témoignent d'une pratique passionnée, épurée et libre.
EDITIONS CAIRN
PASCAL RAVIER, neveu des célèbres grimpeurs Jean et Pierre Ravier, a vécu longtemps sur le plateau de Lannemezan, non loin de la vallée d'Aure. Instituteur, il a écrit plusieurs livres sur les Pyrénées. Malgré quelques infidélités lointaines (Pamir soviétique, équateur, Maroc...), il reste attaché aux Pyrénées qu'il fréquente en toutes saisons.
A Arreau prendre la direction d'Ardengost par la D19. A un kilomètre du village, peu avant de traverser le Ruisseau d’Ardengost et de passer sur l’autre versant du vallon on trouve sur la droite de la route un petit parking
et le départ d’une piste fermée par une barrière blanche et rouge, c’est de là qu’on démarre.
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