22/06/2019
Trace gpx : 1046 Piquet de Pène Blanque - Pic de Pène Blanque Clic droit et "Enregistrer le lien sous ..."
CAPTURES SUR CARTE IGN ET SUR GOOGLE EARTH
Du parking revenir sur la route faire quelques dizaines de mètres vers La Mongie et prendre la route forestière du Serpolet. La suivre sur environ 2.5 kilomètres et monter sur la droite pour prendre la crête dès que possible. La première partie de cette crête ne présente pas de difficulté.
Après un large col herbeux commence la montée au Piquet de Pène Blanque que l’on atteint facilement en prenant à l’approche du sommet, 30 m environ, une sorte de rampe vers la droite et une nervure vers la gauche dans un mélange d’arbres et de rochers, difficulté : pas de I .
Du sommet, descendre en suivant l’arête vers le Pic de Pène Blanque sans grandes difficultés, quelques pas d’escalade par ci par là jusqu’à l’éboulis sous le cône terminal du sommet. Bien avant d’y arriver on voit sur la gauche de cet éboulis une cheminée d’une vingtaine de mètres de haut qui semble bien accueillante pour terminer l’ascension. Je m’y suis engagé, sur les quinze premiers mètres les difficultés ne sont pas énormes mais c’est terreux, ça croule et je n’ai pas pu poser une assurance et j’ai eu beaucoup de mal à poser un rappel. Donc à l’éboulis faire comme au somment précédant prendre une rampe sur la droite et puis une cheminée croulante faiblement pentue, à la sortie de la cheminée faire une traversée vers une zone d’herbe pour finir la montée au Pic de Pène Blanque qui se trouve sur la gauche. Poursuivre sur l’arête franchir la pointe un peu plus haute que le Pic de Pène Blanque et commencer la descente vers la Hourquette Médette à laquelle on est pas obligé d’aller. Ami chemin, vers 2350 m prendre sur la droite la cheminée puis le couloir pour rejoindre le fond du vallon où l’on trouve le sentier balisé pour revenir sur La Mongie.
La Mongie parking sortie paravalanche 1580 m - Départ piste Serpolet 1605 m - Crête 1900 m - Point Haut 2113 m - Col 2075 m - Piquet de Pène Blanque 2277 m - Pic de Pène Blanque 2441 m -
Début du couloir 2350 m - Sentier balisé 2130 m - La Mongie 1745 m - La Mongie parking sortie paravalanche 1580 m
🕖 | : | 08h00 | / | Météo | : | 🌞🌞🌞⛅⛅ |
↔ | : | 13.240 km | / | Intérêt | : | ❤ ❤ ❤ ❤ |
↗ | : | 1041 m | / | Terrain | : | Piste, sentiers, crête |
↘ | : | 1041 m | / | Matériel | : | Corde, sangle, coinceurs |
: | 4h25 | / | Equipement | : | Casque, baudrier | |
: | 4h00 | / | Difficulté | : | PD+ / II | |
⌛ | : | 8h25 | / | Topo | : | Carte IGN, Google Earth |
PHOTOS DE LA SORTIE CARTE IGN CARTE ROUTIERE
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UN PEU DE CULTURE PYRENEENNE
JEAN RITTER : LE PYRENEISME AVEC HENRY RUSSELL ET BERTRAND DE LASSUS
Cet ouvrage de Jean Ritter présente les activités montagnardes du baron Bertrand de Lassus et du comte Henry Russell pendant leur période d'activité commune, soit de 1890 à 1909. Il est l'occasion de croquer sur le vif, cadre, personnages et aventures autour des excursions et des camps de Lassus dans les Pyrénées, camps fastueux selon Marcel Spont, et les allées et venues de Russell dans son royaume du Vignemale où il avait fait creuser les sept fameuses grottes. Les deux aventures se rencontrent au Vignemale précisément. Les grands guides de l'époque sont à l'honneur et c'est une page de l'his¬toire de Gavarnie, de Cauterets, de Montréjeau ou de Luchon qu'évoque cette épopée.
Ce travail est entièrement étayé sur les documents originaux de l'époque.
Un manuscrit inédit du baron Bertrand de Lassus, "Cent excursions dans les Pyrénées", dont la com-munication est due à l'obligeance de Madame la baronne Simone de Lassus, est présenté. Dans le cadre du pyrénéisme de l'époque, il permet de situer au premier plan la personnalité originale du baron Bertrand de Lassus à côté de celle du comte Henry Russell qui l'accueillait par ces simples mots "Mon jeune ami".
Cet ouvrage est enrichi par les magnifiques cli¬chés de Jean de Parada, photographe de Bordeaux, qui accompagnait Bertrand de Lassus dans ses camps, avec toute une suite. Ils apportent un témoi¬gnage sur l'histoire de la photographie dans les Pyrénées.
Le sujet et la qualité des sources et de l'auteur, familier de nos montagnes et de leurs sommets, situent cet ouvrage en bonne place dans l'histoire écrite du pyrénéisme.
EDITIONS LOUVECIENNES
JEAN RITTER est né en 1928 à Pessac (Gironde). Dès l’âge de 19 ans, il aborde les Pyrénées. Au fil des ans il en a gravi tous les principaux sommets et, à deux ou trois exceptions mineures près, tous les 3000 dont plusieurs fois les principaux. Il s’est intéressé à d’autres sommets dans les Alpes, au Cameroun, en Espagne.
En tant que membre de la Société Géologique de France, l’histoire géologique des Pyrénées l’a particulièrement attiré. Son premier livre Ossau, Cotiella, une histoire géologique des Pyrénées, paru en 1988, cherche à mettre à la portée du montagnard non spécialiste ce sujet difficile.En 2001, dans Le pyrénéisme avec Henri Russell et Bertrand de Lassus il s’applique à faire connaître les relations de ces deux grands pyrénéistes.
La flore pyrénéenne et la flore d’altitude sont un autre de ses sujets d’intérêt, en liaison avec les botanistes contemporains.
Il a collaboré à l’ouvrage Franz Schrader, l’homme des paysages rares, paru aux éditions du Pin à crochets, en 1997, et participe à diverses revues.
Parking à deux minutes en contrebas de la station au dessus du Barrage de Castillon
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